La guerre, la guerre, toujours la guerre…

Voici comment David A. Bell qualifie la guerre dans on ouvrage qui vise à repenser notre vision du concept de guerre totale à travers la Révolution française et le règne de Napoléon : « It is something ordinary, wheter we like it or not, and it is all too likely to remain so. What therefore matters above all is limiting the human damage, learning restraint, putting bounds on hatred. » (voir la notice à la fin de cette entrée)

La grande force de l’ouvrage de Bell réside dans sa profonde compréhension de la dualité créée par la guerre moderne qui fait que pour l’avènement du pacifisme et le rejet même du principe guerrier de la civilisation, il y a tout un pan intellectuel qui va défendre la guerre comme étant salvatrice pour la nation, permettant même la régénération des corps et des esprits. Qu’en pensez-vous ?

Tiré de David A. Bell, The First Total War: Napoleon’s Europe and the Birth of Warfare as we know it, Boston, Houghton Mifflin, 2007, p. 317

Une réponse sur “La guerre, la guerre, toujours la guerre…”

  1. Franchement, fallait-il un livre pour comprendre « ça » ? A la limite un chapitre d’accord, mais un livre ?
    Et puis l’histoire de « la régénération des corps et des esprits »… 😀

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