« But mankind’s relations with war are full of paradoxes and surprises. »
Tiré de Geoffrey Best, War and Society in Revolutionary Europe, 1770-1870, London, Fontana, 1982, p. 106.
Voilà une affirmation qui résume très efficacement l’expérience des guerres modernes, Best traitant ici des guerres révolutionnaires françaises de la fin du 18e siècle jusqu’à 1815. Mais son commentaire se veut beaucoup plus inclusif et démontre la complexité du principe guerrier en quelques mots simples. Qu’en pensez-vous ?